Une rencontre a réuni, lundi 4 août 2014 à Washington, le ministre des Affaires étrangères Mongi Hamdi et le secrétaire d'Etat américain John Kerry, lors de laquelle les deux parties ont discuté des dangers relatif à ce qui se passe en Libye, et particulièrement de la montée de l'extrémisme dont l’objectif est de faire échouer la transition démocratique et les challenges que doit relever la Tunisie, notamment celui de la sécurisation de ses frontières.
Ainsi, John Kerry a estimé, lors de la conférence de presse qui a suivi cet entretien, que «La Tunisie est une balise d'espoir parce qu'elle traverse une transition démocratique et tient bon». Notons que la Tunisie «a réussi à relever des défis difficiles, mais elle a besoin d'aide». Le secrétaire d'Etat américain a, ainsi, promis le soutien des États-Unis contre le risque extrémiste islamiste, notamment celui «de combattants étrangers revenant de Syrie pour provoquer des troubles dans le pays». Pour sa part, Mongi Hamdi a estimé que son pays était «l'un des modèles d'espoir de la région» et que «si la Tunisie devait échouer, toute la région serait en danger sécuritaire». Il a, en outre, exprimé, à John Kerry, son inquiétude face à la situation en Libye voisine. M. Hamdi a assuré que «l'extrémisme et le terrorisme n'avaient pas leur place en Tunisie» et que Tunis était «déterminé à les combattre».
https://www.youtube.com/watch?v=dwaqLsR176U
Ainsi, John Kerry a estimé, lors de la conférence de presse qui a suivi cet entretien, que «La Tunisie est une balise d'espoir parce qu'elle traverse une transition démocratique et tient bon». Notons que la Tunisie «a réussi à relever des défis difficiles, mais elle a besoin d'aide». Le secrétaire d'Etat américain a, ainsi, promis le soutien des États-Unis contre le risque extrémiste islamiste, notamment celui «de combattants étrangers revenant de Syrie pour provoquer des troubles dans le pays». Pour sa part, Mongi Hamdi a estimé que son pays était «l'un des modèles d'espoir de la région» et que «si la Tunisie devait échouer, toute la région serait en danger sécuritaire». Il a, en outre, exprimé, à John Kerry, son inquiétude face à la situation en Libye voisine. M. Hamdi a assuré que «l'extrémisme et le terrorisme n'avaient pas leur place en Tunisie» et que Tunis était «déterminé à les combattre».
https://www.youtube.com/watch?v=dwaqLsR176U