Le quatrième pouvoir devrait se prendre plus en charge :il constitue une charge.
C’est toujours ce maillon faible qui tire en arrière.
En réaction à l’article publié et relayé par mon ami et frère militant HMIDA BEN JEMAA intitulé ‘Le quatrième pouvoir frappe ‘ j’ai le plaisir d’émettre quelques semblants d’idées sur ce sujet qui mérite bien d’être visionner en profondeur . Ceci dit je pense et tire mon confort d’expression de la même plateforme démocratique que n’importe quel citoyen .Loin des surenchères ce ‘quatrième pouvoir’ devrait faire des pas de géant, la mise à niveau ne l’a toujours pas atteint.
C’est toujours ce maillon faible qui tire en arrière.
C’est toujours ce carcan malgré les multiples coups de fouets de Mr Le président.Ca manque de vivacité d’audace et d’innovation.
Des émissions qui retiennent de plus en plus d’audience mais la cadence reste en deçà des attentes pourtant l’on est capable de mieux faire sinon d’exceller.
ça ne devrait étonner personne , son excellence le fait au quotidien et surtout les esprits arides savent très bien de quoi il est capable. Pour un leader qui diffuse la culture du travail et qui met le bien être du citoyen au sommet de ses priorités d’autres décisions plus importantes de rigueur et de bonheur suivront.
De là ,à afficher en style journalistique que ‘ le quatrième pouvoir frappe’ à mon avis et sincèrement c’est démesuré. Le quatrième pouvoir devrait se prendre plus en charge et trouver la bonne recette pour faire évoluer ce secteur qui ne reflète ni le vrai visage ni la vraie image de la Tunisie de Ben Ali avec tous ses acquis et ses défis.
L'heure est au travail .Les orientations et choix de son excellence ne doivent pas être sujet à mauvaise interprétation ou encore à hésitation quand à leurs applications pures et simples. Ceci dit la tolérance a ces limites et la complaisance n'a pas de place surtout quand il s'agit de l'image de la Tunisie. La parole doit être suivi immédiatement par l'action. On n’a pas de temps à perdre .
Les mentalités doivent changer La marge de manoeuvre ne peut plus être adoptée partout et ne doit pas être une règle sauf pour les cas qui la nécessitent. La grande décision stratégique de son excellence à promouvoir le rôle des medias n'est pas le fruit d'une improvisation et dépasse de loin le cadre de cette émission télévisée. Par ce geste et décision son excellence démontre encore une fois que l'heure est au travail et rien ne prime devant la promotion de l'image de la Tunisie et de sa bonne gouvernance.
La crédibilité de nos choix et orientations est tributaire du degré de leurs applications sur le terrain . Approche citoyenne Sure pour d'avantage d'acquis, d'avantage de démocratie solidaire, participative et citoyenne. A l’époque de la démocratie numérique dont le président BEN ALI est prôneur et promoteur des institutions ou responsables encore dépourvues de mise à niveau par leurs erreurs gratuites marquant un mauvais impact sur la vie du citoyen marginalisant ainsi cette volonté et portée présidentielle motrice et porteuse de bien être et de confort social .Reste que son excellence a une vue d'ensemble et aucun responsable ni institution ne sont ménagés quand il s'agit d'une déviation. La qualité de nos responsables n'est pas à mettre en doute mais l'aptitude à s'acquitter des nouveaux rôles dictés et exigés par une nouvelle conjoncture ou un nouveau programme demeure à l'appréciation exclusive de son excellence qui veille personnellement à placer le profil qu'il faut à la place qu'il faut. Il apprécie à la juste valeur.
Ces hautes responsabilités requièrent à mon avis en plus des critères de compétences connues d'autres conditions accessoires et obligatoires à savoir:
1/L'amour de la patrie imbibé de conviction militante imposante du renouveau alimenté par la force nécessaire à convaincre par le concret.
2/L’honnêteté, l’intégrité, la volonté et la conviction d'aller au delà de ces performances et ne jamais s’arrêter là ou il faut avancer et exceller. Défier les difficultés et se rappeler toujours que l’impossible n’est ni RCD ni Renouveau.
3/L'Action par le travail et l'application harmonisée des mesures et directives
.C’est le sens même de la valeur ajoutée attendue. La concertation continue est une règle d’or partant du principe que nul n’est parfait mais l’impossible n’est pas une devise tunisienne.
4/Le sens aigu du détail, la vigilance et la perception évolutive des enjeux socio politiques tout en étant à l'écoute des justiciables aux fins de : apporter les solutions aux attentes et les réponses aux doléances; écourter les délais de réponses et apporter les réponses . Ca s'appelle une administration au service du citoyen .Le devoir de l’administration est de rassurer, conforter et confirmer la position du citoyen dans sa dignité .C’est l’objectif.
La protection de ses biens, la prise en charge de ses doléances. Confirmer les droits citoyens relève du respect élémentaire des droits de l'homme dans sa dimension sociale et économique.
C'est un devoir pour la Tunisie de Ben ALI qui enjambe la clôture du jardin des pays émergents pour mériter sa place aux rangs des pays développés. La Tunisie de Ben ALI du pari aux défis. Le pari étant rattaché aux ressources humaines du pays Les défis étant une affaire d’adhésion du citoyen et sa participation dans l’édifice de la Tunisie de demain. Le respect et la dignité du citoyen sont des valeurs sures dans la pensée du président .Les citoyens méritent bien leur président et son excellence mérite bien son peuple qui à une confiance absolue dans tous ce qu’il entreprends .Le secret de cette relation loin des clivages repose sur la proximité et la loyauté de son excellence vis-à-vis de son peuple et cette générosité abondante qui l’anime au service de la patrie et du peuple.
La capitale TUNIS c'est la première image de cette Tunisie défiante dont Mr le Président à pris soin de hisser aux rangs des pays développés en conséquence il n'est pas permis de s'adonner gratuitement à quelques mesures que se soient qui ne servent pas la stratégie du pays dans quelques domaines que ce soient.
A bon entendeur, à vos marques, la vigilance de son excellence est un capital d’assurance pour la marche du pays et de son essor. Les slogans et les surenchères du verbe n'ont jamais été les critères de choix de son excellence et ne pourront pas l'être, personne n'a le droit et la qualité de retarder un processus stratégique .La seule considération et sans équivoque est bien évidemment la réussite dans la mission au vu d’un bilan positif .
Le rajeunissement des structures et des responsables est au diapason de la réalité délicate de l'étape certainement et des objectifs du quinquennat dans un but de préparation et de formation de toutes ces jeunes compétences à la gouvernance moderne pour l'édification de la Tunisie de demain, signe flatteur et d'autant plus claire qu'il privilégie la préservation des acquis du pays et prépare à une synchronisation sure des pignons pour les générations futures.
Il ne s'agit pas d'être compétent ou très instruit, il faut avoir aussi la volonté, la discipline et le dévouement nécessaires pour avancer et n'en pas pour reculer ne serait ce que d’un petit centimètre.
Le responsable est récompensé sur la base d’un bilan, pas pour ce qu’il est ou pour les diplômes qu’il a obtenus. Bref , c’est sa capacité à obtenir les résultats escomptés sinon plus. Le président donne une chance et c’est au chanceux de montrer qu’il est digne de cette confiance.
En tout état de cause, je voudrais dire que le peuple tunisien vit pleinement sa réhabilitation depuis le 7 novembre 1987 et ne simule pas la jouissance comme ces détracteurs (cadavres en décomposition) veulent faire croire à leurs maîtres de l’étranger. Mais ce n’est pas une raison non plus de nous en faire une obsession à vouloir expliquer ou démontrer que leurs dires sans fondements sont à l’origines de nos reformes .Notre processus est en marche sure et continu.
Par ailleurs, je tiens à préciser que cette information véhiculée sur facebook et surtout sur les circonstances qui ont emmené la décision présidentielle, franchement je reste sceptique sur le contenu jusqu’à publication du même contenu par une source d’information officielle.
Je n’exclu rien mais je ne confirme rien n’en plus.
Je sais par contre que si décision présidentielle est prise c’est qu’il y a toujours de bonnes raisons pour le faire. Le détail étant du strict ressort
du décideur .
A mon humble avis, la seule façon et manière de montrer son attachement et son amour à la patrie et sa fidélité à son leader demeure inévitablement la valeur du travail, du rendement et du don de soi. Le cadre constitutionnel est vecteur de développement .Donc, reformes et initiatives sont des conditions sine qua non pour abolir l'ordre du verbiage et de la surenchère politicienne .
C'est simple comme bonjour : Le travail le travail le travail...rien que le travail…
Le peuple vous aime Mr le président
BERROUH BEDDEM NEFDIK BEN ALI
Mr Rafik Zehri
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